« Ah ? J’entends de nouveau quelques ronchonnements au parterre.
‘’Ce Gabriel, c’est vraiment n’importe quoi !
Dieu est omniscient !
Donc, il savait parfaitement ce qui allait se passer, jusqu’à ses moindres détails. ‘‘
Eh bien, les ronchonneurs, vous vous égarez totalement !
Vous croyez, vous, que le peintre a déjà son tableau dans la tête quand il attrape ses pinceaux.
Mais ce n’est pas un peintre, ça, c’est un copiste !
Vous supposez que le musicien a sa composition toute prête dans l’oreille quand il s’assoit sur le tabouret devant son piano.
Mais ce n’est pas un compositeur, ça, c’est un interprète.
Vous vous figurez qu’un romancier connaît l’histoire qu’il va raconter avant de prendre la plume.
C’est un chroniqueur, ça, pas un écrivain.
Croyez-moi, Dieu ne savait pas ce qui allait se passer. Et il reste dans l’attente des surprises que l’univers est bien capable de lui réserver encore.
Sinon, il s’en serait désintéressé depuis longtemps, comme les enfants oublient un ballon égaré dans un terrain vague.
Dieu est à l’affût de tout ce qui peut sortir d’inattendu de sa chiquenaude initiale.
Chaque trouvaille de la création lui révèle quelque chose qu’elle a tiré de lui.
Chacune le révèle à lui-même, chacune ouvre une nouvelle page du livre infini de son mystère.
Et, en même temps, il se réjouit que chaque créature n’appartienne qu’à elle-même, comme l’enfant réjouit ses parents, à la fois parce qu’ils se reconnaissent en lui, et parce qu’il est lui-même.
Dieu n’a pas voulu d’un univers qui serait une marionnette dont il tirerait les ficelles.
Il a rompu les amarres du monde pour le laisser voguer à sa guise, de découverte en découverte. »
Extrait de L’ange Gabriel (monologue) d’Armel Job, Editions Fidélité
Bientôt, frère Joseph de la congrégation des Prêtres du Sacré-Cœur prononcera ses vœux perpétuels. Une invitation à l’accompagner est lancée par le bulletin Trait d’Union. Toutefois avant cette célébration, la cérémonie du noviciat d’Antoine et Pierre, également de cette communauté, s’est rappelée à mes souvenirs et à l’époque, en septembre 2016, j’avais réalisé un petit film personnel. Je l’ai retravaillé avec d’anciennes vidéos retrouvées fortuitement. La qualité est plus basique mais quelles ferveur et communion dans la prière et les chants. On y revoit le père Ladis, le père André et le doyen Jean-Marie Jadot, désemparé suite à la mutation du père André à Strasbourg.
Avant le texte de l’homélie prononcée par le Père Jean-Jacques Flammang scj à la chapelle de Clairefontaine pour la fête du Sacré-Cœur, voici une proposition de découverte d’un jeune chanteur chrétien : Jonathan Paton et son groupe, avec un nouveau CD : « Comment décrire ».
Et une courte vidéo : Brabançonne interprétée par François à l’église de Barnich à l’occasion de la fête nationale :
Et une photo de la distribution des dons reçus pour l’opération «Arbre de Noël à Abidjan ». Vidéo en cours de montage mais de nouveau, nous faisons appel à vos dons :
Vêtements, chaussures, bottes en caoutchouc, matériel scolaire( cahiers, fardes, crayons, Bics, gommes… cartables, sac à dos scolaires… Jeux, jouets en bon état sont les bienvenus…
Nous récolterons vos dépôts jusque fin septembre afin de les envoyer dès octobre et qu’ils puisent être distribués pour Noël 2024. Dites-le autour de vous. MERCI.
Thérèse pour l’équipe pastorale
Homélie prononcée par le Père Jean-Jacques Flammang scj à la chapelle de Clairefontaine pour la fête du Sacré-Cœur
(…)
Chers amis,
Notre Fondateur, le Père Dehon, dont nous célébrons bientôt le centenaire de la mort – il est en effet décédé le 12 août 1925 à Bruxelles, et la Congrégation commence un jubilé cette année-ci – le Père Dehon trouvait dans le Côté ouvert et le Cœur transpercé l’expression la plus évocatrice de sa foi en ce Dieu qui est amour et charité.
Car c’est bien la mort qui nous est montrée ici, mais avec saint Jean et le Père Dehon – et avant lui et après lui – beaucoup de fidèles discernent le don ultime que Dieu fait à l’humanité, l’amour et la miséricorde, les sources du salut. Le Père Dehon note:
C’est du Cœur du Christ que naît l’homme nouveau, animé par l’Esprit et uni à ses frères dans la communauté qu’est l’Eglise.
Cet homme nouveau, sensible au péché, connaît les maux de la société, et voit leur cause profonde dans le refus de l’amour du Christ. C’est pourquoi avec la grâce de Dieu il s’efforce d’instaurer partout le Règne du Sacré-Cœur, dans les âmes et dans la société.
Dans une semaine commence à Rome notre 25e Chapitre général. Les Prêtres du Sacré-Cœur de l’Europe francophone seront représentés par notre confrère Théo Klein. Il passera tout un mois à Rome avec les confrères du monde entier pour voir comment bien comprendre et mieux vivre la dévotion au Sacré-Cœur dans notre monde. Un logo a été créé pour cette occasion. Nous le voyons sur les feuilles de chant.
Pour un monde qui est en train de se réorganiser, non sans luttes et guerres sanglantes, le logo rappelle clairement quelle doit être pour nous la source de notre inspiration: ce ne sont pas d’abord les valeurs européennes qui privilégient souvent nos propres intérêts. Pour ces valeurs-là, nous n’avons pas besoin de faire la guerre, si nous voulons les défendre, nous devons les vivre avec le monde entier, et pas seulement entre nous, Européens.
C’est beau de célébrer l’Union européenne, mais nous ne devons jamais oublier l’objectif des fondateurs catholiques de l’Europe: leur but était non pas protéger l’Europe contre le reste du monde, mais instaurer une entente entre les nations et œuvrer pour une paix juste: L’Europe ne doit pas être une menace, mais un signe d’espérance pour le monde entier.
Le Père Dehon l’avait bien vu, lorsqu’il demande non pas seulement la charité, mais d’abord la justice pour tous et lorsqu’il critiquait – avec le savoir et les limites de son époque – les riches exploiteurs capitalistes. Il avait raison lorsqu’il refusait d’exclure quiconque de son projet de société et qu’il rassemblait les ouvriers et les exploités, mais aussi les patrons et exploiteurs pour leur rappeler les exigences de l’Evangile.
Le 25e Chapitre Général s’est donné comme devise: « Que tous soient un! » dans un monde en transformation – Comment le réaliser? Eh bien, on attend les résultats du Chapitre que le Père Théo va nous rapporter de Rome, mais déjà maintenant le logo indique la direction: Tous – peu importe d’où nous venons et qui nous sommes – tous nous sommes appelés à mettre au centre le cœur, signe d’amour, d’un amour qui est ouverture, bienveillance, compréhension, un amour qui est désir d’unité au-delà de nos frontières, miséricorde et énergie de transformation en vue d’un monde qui ne cherche pas la guerre et les intérêts de quelques privilégiés, bien mais la justice et la paix pour tous. Les couleurs du logo créé par un jeune confrère brésilien indiquent les continents où sont présents les Prêtres du Sacré-Cœur. Le bleu symbolise l’Europe d’où le Père Dehon avait envoyé ses missionnaires vers le violet, l’Afrique, le jaune, l’Asie, le rouge, l’Amérique, et le vert, l’Océanie.
Wa mer dës Fuerwen kucken, gesi mer datt d’Blo vun Europa mat alle Faarwen verbonnen. Dat weist op d’europäisch Missioun hunn. Awer och all déi aner Faarwen verbannen sech, a mir si frou, datt mer vill Geeschtlech a Laien haut vun anere Kontinenten bei eis hun, déi mat eis de Glaawen liewen. Hei zu Clairefontaine hu mer de Père Vincent aus dem Vietnam an de Fr Joseph aus dem Madagascar, a mir kréien och nach de jonke Fr. Antoine aus dem Vietnam, deen hei zum Diakon a Priester wäert geweit ginn. Mir kënnen ee vun deem aneren léieren, esou datt mer all kënnen gleewen, un d’Léift, déi Gott eis mam Häerz vu Christus weist. Dat mer ëmmer méi vun der wierklecher Eenheet, déi den Hergott ënnert eis wëllt, kënne liewen, dat soll eise Wonsch an eist Gebiet haut, op dem Häerz-Jesu Fest sin. Amen.
Suite à la fermeture de la plateforme Kizoa, les vidéos se retrouvent à présent sur la chaîneYou Tube :Les Eaux-vives-Arlon, ND du Bel Amour, Abonnez-vous pour accéder facilement aux nouvelles réalisations de Sylvianne en plus des anciennes vidéos (dont la liste complète s’affichera bientôt ci-dessous, pour en faciliter l’accès à ceux qui voudraient les revoir).
« Voici les signes de la résurrection du Seigneur Jésus. Les premiers chrétiens ont découvert, au petit matin de Pâques, que le tombeau était vide. Or la polémique juive, entamée de bonne heure contre le message chrétien de la résurrection, ne mentionne jamais que le tombeau de Jésus serait demeuré tel quel. Elle avait pourtant tout intérêt à le faire. Si elle ne l’a pas fait, n’est-ce pas parce que la découverte du tombeau vide ne pouvait être mise en question ?
Le second signe de la résurrection du Seigneur, je le trouve dans l’attitude des disciples.
La Résurrection, une autosuggestion ? Une hallucination collective ? Une telle explication jure avec ce que nous savons de la psychologie des premiers disciples. Les pieds bien sur terre, ces pêcheurs du lac ne s’en laissaient pas facilement conter. Quand les femmes, revenues du tombeau, ont raconté aux Onze et aux autres de qu’elles avaient vu, ils ne les ont pas crues. Leurs propos leur ‘’semblèrent un délire ‘’ (cf. Lc 24,11). Et Thomas dut parcourir une étape supplémentaire avant de chanter son crédo : « si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je n’enfonce pas mon doigt à la place des clous et si je n’enfonce pas ma main dans son côté, je ne croirai pas ! » (cf.Jn20 ,25).
Et puis, il y a la formidable mutation qui s’est opérée dans la vie de ces hommes. Car enfin le fait est là : au lendemain du vendredi saint, ils se terraient désolés ; au lendemain de Pâques, ils sont partis sur les chemins du monde pour crier fort à qui voulait les entendre et à qui ne voulait pas les entendre : Jésus-Christ, l’homme qui était notre ami, l’ami des pauvres et des pêcheurs ; Jésus-Christ, sur qui on a craché, qu’on a matraqué et torturé en riant ; Jésus-Christ, qu’on a pendu sur une croix et dont on était sûr que la mort n’était pas ratée ; Jésus-Christ, qu’on a enterré avec une grande pierre et des soldats devant ; Jésus-Christ estressuscité ! Dans notre monde, nous nous heurtons de tous côtés à la mort et aux forces de la mort. Mais depuis le premier matin de Pâques, même le couchant d’une vie est la promesse d’un jour nouveau. Il est ressuscité et nous ressusciterons après lui. (…)
Extrait du mot de Monseigneur Warin dans la newsletter 03-2024 de RCF
Et le linceul de Turin ? Que de tribulations n’a-t-il pas connu et pourtant il est toujours là avec son questionnement…
Depuis Secondo Pia, un nombre considérable de photographies ont été prises. Issue d’un retraitement par ordinateur, celle de l’ingénieur français Thierry Castex est l’une des plus saisissantes.
«(…) Ce n’est pas simplement une pièce officielle, comme serait par exemple un procès-verbal, une grosse de jugement dûment signée et paraphée : c’est un décalque, c’est une image portant avec elle sa propre caution. Plus qu’une image, c’est une présence ! »
Paul Claudel dans sa lettre du 16 août 1935 à Gérard Cordonnier, membre de la Commission du Saint Suaire.
« Cependant, l’image ne nous montre pas un homme vivant, ressuscité, mais figé dans la rigidité cadavérique, avec les yeux fermés. Tout ce que l’on peut affirmer est que le Saint Suaire n’a recouvert le corps que quelques heures : on n’y observe en effet aucune marque de décomposition aux lèvres, au ventre ni sur les taches de sang, comme il arrive pour un cadavre au bout d’une trentaine d’heures.
De surcroît, personne ne peut scientifiquement expliquer comment le mort a pu en sortir sans laisser la moindre trace d’arrachement sur les caillots de sang ou les fibrilles de lin.
‘’Quand, sur une blessure, écrivent F. Giraud, T. Castex et Y.M. Giraud, on met un pansement sans corps gras, ou en quantité insuffisante, il colle à la blessure et, au moment de l’enlever, des morceaux de ‘croutes’ et de caillot, aux contours irréguliers et déchirés, restent toujours collés au pansement. Dans ce cas le Linceul joue le rôle de pansement ; le sang l’a donc traversé et, en trente-six heures, a eu tout le temps de sécher et coller le Linceul aux innombrables plaies. A l’examen du Linceul, aucune des centaines de taches n’a un pourtour irrégulier ni déchiré. Il faut se rendre à l’évidence : le corps s’est désolidarisé du Linceul sans laisser la moindre trace de séparation. Ce cas impossible n’est évidemment pas reproductible, mais par contre, il est extrêmement facile à vérifier, il suffit d’examiner le Linceul… c’est à la portée de tous’’. (…)Qui parmi les croyants ou même les incroyants n’a été fasciné par la contemplation de ce visage d’outre-tombe qui a traversé le temps ? Libéré de la souffrance, noble et serein, d’une grave et sublime majesté, il semble poser la même question que Jésus le Nazarénien posait déjà à ses disciples sur les routes de Galilée et de Judée : ‘’Et toi, qui dis-tu que je suis ?’’
Extrait de Le Saint Suaire de Turin, Témoin de la Passion de Jésus-Christ, par Jean-Christian Petitfils, 2022
Ce médecin légiste a réalisé l’autopsie du Christ à partir du Saint-Suaire (youtube.com):
Quatre années de navigation.Parti de Brest début septembre 2018, le bateau a rejoint Panama après cinq mois pour les JMJ. Puis, il a continué son voyage jusqu’à Lisbonne, rallongé d’un an à cause du Covid.
Plus de 20 pays visités.L’équipage d’Exultet a effectué un tour du monde, découvrant de nombreux pays ou territoires, parmi lesquels le Mexique, la Polynésie française, Tahiti, Bali, le Sri Lanka, Djibouti, et l’Égypte.
77 jeunes Français se seront succédé à bord d’Exultet, aux profils variés, et de convictions différentes. (…)
« Évangéliser par la mer »
« La genèse de cette odyssée remonte en réalité à septembre 2018. Une vingtaine de Français – familles, jeunes, célibataires – décident alors de rejoindre Panama à la voile depuis Brest. Au terme de cinq mois de navigation, l’un des skippeurs, Thierry Pichon, un Breton de 57 ans, qui a servi comme officier dans la Marine nationale et veut mettre à profit sa retraite « en évangélisant par la mer », prend la folle décision de continuer son périple… jusqu’aux prochaines JMJ, dont la ville d’accueil vient d’être annoncée par le pape François. Cap sur Lisbonne.
Durant quatre ans, l’équipage va se renouveler en permanence, certains jeunes restant un an à bord, la plupart au minimum – requis par le skippeur – trois mois. Dans tous les cas, Exultet s’est voulu comme « une préparation permanente aux JMJ, dans une démarche continuelle de pèlerinage ».« Comme pour le chemin de Compostelle, illustre Thierry Pichon, qui a formé des générations de marins à la navigation côtière et hauturière, les jeunes à bord n’ont pas fait tout le trajet d’une traite mais ont pu choisir leur tronçon. »(…)
Entre dépassement de soi – mal de mer, manque de connexion Internet, incertitudes, vie en communauté, solitude –, conscience écologique, passion de la voile, et besoin de « donner un sens à (leur) vie », les jeunes d’Exultet ont pris au mot l’interpellation du pape François à « sortir de (leur) canapé » ».
(…) Marie-Flamine Lavergne, le 25 juillet 2023, site Croire.com
Quelques images du jubilé des 25 ans de sacerdoce de l’Abbé Basile Amari, au sein de notre Unité pastorale et auprès de sa communauté en Côte d’Ivoire. Merci aux vidéastes amatrices (Arlette, Martine F., Martine L.) ainsi qu’à l’abbé Amari qui m’ont transmis ces images.
Bientôt, vous lirez sur ce site les détails relatifs au projet de solidarité pour Abidjan (une courte vidéo est en préparation pour septembre prochain)
« Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui apporte la joie au cœur des hommes, elle est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communiquer dans l’admiration. »
Ce texte de Paul VI date de 1965, mais est toujours d’actualité…
Beaucoup d’évènements ont marqué le mois de mai dont la canonisation de Charles de Foucauld, Marie Rivier et César de Bus, ainsi que de six autres religieux, le 15 mai 2022. Egalement la béatification de la Lyonnaise Pauline Jaricot où près de 12 000 fidèles laïcs et clercs de l’Église se sont rassemblés le 22 mai à Chassieu.
En partage deux extraits de l’homélie très forte du pape François, lors des canonisations :
« Aimer signifie ceci : servir et donner sa vie. Servir, c’est-à-dire ne pas faire passer ses propres intérêts en premier ; se désintoxiquer des poisons de la cupidité et de la concurrence ; combattre le cancer de l’indifférence et le ver de l’autoréférentialité ; partager les charismes et les dons que Dieu nous a donnés. Se demander concrètement : “Qu’est-ce que je fais pour les autres ?” et vivre le quotidien dans un esprit de service, avec amour et sans clameur, sans rien revendiquer, c’est sortir de l’égoïsme pour faire de l’existence un don, regarder les besoins de ceux qui marchent à nos côtés, se dépenser pour ceux qui en ont besoin, peut-être même un peu d’écoute, de temps, un coup de téléphone. La sainteté n’est pas faite de quelques gestes héroïques, mais de beaucoup d’amour quotidien.” »
(…)
« Parfois, en insistant trop sur les efforts pour accomplir de bonnes œuvres, nous avons généré un idéal de sainteté trop fondé sur nous-mêmes, sur l’héroïsme personnel, sur la capacité de renonciation, sur le sacrifice de soi pour gagner une récompense. Nous avons ainsi fait de la sainteté un objectif inaccessible, nous l’avons séparée de la vie quotidienne au lieu de la rechercher et de l’embrasser dans le quotidien, dans la poussière de la rue, dans les efforts de la vie concrète et, comme le disait sainte Thérèse d’Avila à ses sœurs, “parmi les casseroles de la cuisine”. Être disciples de Jésus et marcher sur le chemin de la sainteté, c’est avant tout se laisser transfigurer par la puissance de l’amour de Dieu. N’oublions pas la primauté de Dieu sur le moi, de l’Esprit sur la chair, la primauté de la grâce sur les œuvres. La primauté de l’esprit sur la chair, sur les hommes. L’amour que nous recevons du Seigneur est la force qui transforme notre vie : il dilate notre cœur et nous prédispose à aimer. »
Source : site internet Croire.com 05-2022
Dans notre unité pastorale, pas mal d’évènements se sont déroulés également :
Le 29 mai, à Weyler, la messe d’envoi de l’équipe pastorale renouvelée et la clôture du catéchisme célébrée par le vicaire épiscopal Joël Derochette accompagné par le doyen Pascal Roger et l’abbé Basile Amari.
Prière lue par l’assemblée afin de soutenir notre équipe pastorale :
« Aujourd’hui, par cette célébration, nous renouvelons ce qui se passait dans l’Eglise primitive. Animée par l’Esprit, elle envoyait avec joie quelques-uns de ses membres pour encourager leurs frères dans la foi et pour témoigner du Christ. Elle confiait des responsabilités à quelques-uns de ses membres pour que tous vivent davantage selon l’Evangile. Nous te prions, Seigneur, pour l’Equipe pastorale que tu envoies aujourd’hui. Donne aux membres de l’Equipe d’exercer ensemble leur responsabilité au service de la communion et de la mission de notre Unité pastorale. Qu’ensemble, au sein de notre diocèse, nous devenions tous des ferments de vie évangélique, sel de la terre et lumière du monde. Amen. »
Merci au père Vincent pour sa disponibilité, aux musiciens, chefs de chœur, choristes, et aux enfants de l’avoir animé avec brio. Bravo donc également aux catéchistes !