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Paroisses catholiques de Autelhaut, Barnich, Sterpenich, Toernich, Udange, Weyler, Centre spirituel de Clairefontaine
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(Psaume 1)
5 mars, mercredi des cendres et entame du carême, lequel est un chemin de conversion intérieure avant d’être un temps de privation. L’affiche d’Entraide et Fraternité est assez ‘’parlante’’ !
Dans cette Illustration, tous les messages phares de la campagne sont repris ; ainsi l’espérance sur le visage des gens mais aussi dans la fleur qui pousse au creux des mains, la résilience vécue à travers l’agroécologie urbaine et toute la force des couleurs et des formes qui évoquent la beauté de l’unité, de la diversité et la solidarité humaine.
(D’après la revue d’Entraide et Fraternité, carême 2025)
Pour enrichir ce temps, n’hésitons pas à écouter ou réécouter les chrétiens engagés qui ont témoigné lors de la neuvaine à ND de Lourdes à Arlon ; Activités Boguifra les reprend sur sa chaîne YouTube, découvrez-les ! Voici quelques liens mais il y en a d’autres, tous enrichissants :
Jour 2 Neuvaine à Notre dame de Lourdes 2025 – Le Dr Lenoir, médecin, évoque les soins palliatifs:
Jour 4 Neuvaine à Notre dame de Lourdes 2025 – Murielle Cuvelier, institutrice, partage son quotidien avec des enfants handicapés:
Jour 7 Neuvaine à Notre Dame de Lourdes 2025 – Dominique Arnould, agent DNF, parle du climat… donc de notre maison commune… et il évoque notamment la force de la prière…
« Lorsque je dois parler en public, je prépare à l’avance mon enseignement. Mais combien de fois déjà, n’ai-je pas été amené à m’écarter de mon schéma de départ parce que je me sentais inspiré, parce que j’étais mené ailleurs grâce notamment à la communion avec le public en face de moi. Avoir un exposé préparé à l’avance et structuré est important, mais la souplesse pour s’ouvrir à la nouveauté de Dieu l’est sans doute encore plus. J’ai vécu des enseignements tellement inspirés que je serais incapable de les reproduire une deuxième fois. Et tant mieux ! Il faut faire confiance à Dieu et il renouvellera ses merveilles.
Être attentif à ne pas se mettre en ‘’pilote automatique’’ c’est demander à Dieu : ‘’Seigneur, où veux-tu m’emmener ? Comment veux-tu que je te rende présent ? ‘’
Pour tout cela, prier est fondamental. Le pauvre est celui qui prie. Il ne s’appuie pas uniquement sur son savoir-faire et ses acquis. Il sait que sans Dieu, il ne peut rien faire. Il a besoin de faire l’expérience de la Présence divine pour en parler et la vivre. Le pauvre est celui qui veut dépendre de Dieu même lorsque, humainement parlant, il sait faire des choses. Prier avant, pendant, après la mission : c’est ‘’parole d’Evangile’’ »
Extrait de Libre et léger avec St François de frère Jack Mardesic et Claire Denoël, coll. Outils missionnaires.
Rappel, au centre spirituel de Clairefontaine :
Adoration, prière méditative pour l’année sainte, le dimanche 16 mars prochain
Marche spirituelle initiée par frère Antoine le samedi 22 mars
Retraite de 4 jours animée par le père Théo Klein scj, du 18 au 21 mars
Retraite similaire mais de 2 jours du 28 au 30 mars ;
info par tél. +32 63 24 01 80 ou par mail clairefontaine@scj.lu ; site internet : scj.lu
Ne ratez pas la messe des Rameaux à Sterpenich, elle sera animée par Jonathan PATON, le 13 avril 2025
***
Dieu est le fondement de l’espérance, non pas n’importe quel dieu, mais le Dieu qui possède un visage humain et qui nous a aimés jusqu’au bout, chacun individuellement et l’humanité toute entière.
(Benoît XVI, prière du signet du Centre de formation diocésain Jean XXIII à Luxembourg)
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Dimanche 23 février 2025 à 16h30, en l’église de Sterpenich, concert de l’Académie de musique d’Arlon. Au programme, Messe de minuit pour Noël de Charpentier.
Un bon et beau moment à passer ensemble. Venez en profiter!
Le pape François a placé l’année 2025 sous le signe de l’espérance. L’espérance est-elle en crise aujourd’hui ?
Ce sont d’abord nos espoirs qui sont en crise et c’est déjà grave, car l’espoir est ce qui permet de nous projeter, de nous donner des objectifs. L’accumulation des crises (géopolitiques, démocratiques, écologiques…) entraîne une perte des perspectives. Nous faisons aussi la douloureuse expérience que la rationalité technoscientifique n’a pas de prise sur la contingence de la vie fragile, sur les avidités humaines et sur les volontés de puissance. Face à cela, l’espérance est-elle en crise ? Ce qui est sûr, c’est que nous ne pouvons pas nous contenter d’une espérance facile, mais la véritable espérance ne l’est jamais.
Comment peut-on définir l’espérance ? À quel niveau est-elle agissante ?
L’espérance n’est pas simplement volontariste, au sens où elle serait produite par ma volonté naturelle. On le voit bien : devant certaines épreuves de la vie, le ressort de la volonté est cassé, et d’une façon qui n’est pas coupable. Il y a des épreuves qui sont tellement dures, abruptes, que nous n’avons pas la ressource volontaire de tenir debout. Il y a aussi des situations où notre raison calculatrice ou notre prudence naturelle peuvent nous certifier qu’il n’y a plus d’espoir, qu’il n’y a plus rien de bon à attendre, plus rien à espérer. Là intervient pourtant l’espérance, qui est d’un autre ordre que le simple espoir de projection. Elle est ouverte sur la possibilité de l’avènement du bien comme un don, qui vient d’autrui ou d’en haut.
Espérer, c’est choisir de ne pas fermer mon regard, de ne pas me convaincre qu’il n’y a plus aucune possibilité pour moi de vivre. C’est une attitude résiliente par laquelle je choisis de rester ouvert à ce que Dieu me surprenne, lui-même directement ou par les personnes et les circonstances au milieu desquelles je chemine.
Cette espérance s’enracine dans la foi en Dieu. Comment peut-elle concerner ceux qui ne sont pas croyants ?
Dans la langue française, nous avons deux mots, « espoir » et « espérance », mais nous n’avons qu’un seul verbe : espérer. Cela manifeste qu’on ne peut pas tracer une frontière nette entre l‘aspiration de tout homme, de toute femme, à tenir ferme dans la vie, et ce qui dans cette espérance est porté, aimanté, soutenu par Dieu. Il y a une sorte de mystère de l’endurance incroyablement résiliente, inventive, opiniâtre des humains. Quand je suis face à une personne qui lutte dans son existence et qui entretient la flamme de l’espérance, là où il y aurait toutes les raisons de se coucher et de mourir, moi qui suis croyant, j’y vois une affinité avec Dieu. Une réponse à quelque chose qui vient de Dieu dans le cœur de l’homme.
(…)
Vous soulignez que l’espérance n’est pas un acte simplement individuel. En quel sens ?
Nous voyons bien que dans des situations humaines limites – dans la dépression ou à l’approche de la mort par exemple –, notre espérance peut défaillir et nous avons besoin d’être pris en charge par d’autres. Dans l’épreuve, je suis alors porté par l’espérance des personnes qui m’aiment, qui m’attendent, qui me sollicitent.
Il y a des situations où le malheur rencontré est si profond qu’espérer consiste à se tenir au côté de celui ou celle qui souffre, dans une simple co-humanité, sans avoir de solution immédiate, sans même formuler une espérance qui serait alors inaudible. Dans les Évangiles, le Christ se rend ainsi proche de la veuve qui enterre son fils unique (Évangile de saint Luc, chapitre 7). Il ressent dans ses entrailles une compassion profonde qui devient la source d’une espérance pour cette femme. Et il a cette capacité de discerner chez celles et ceux qu’ils rencontrent beaucoup plus que ce qui se voit à l’œil nu.
Interview d’Emmanuel Durand, site La Croix.com, 01-2025.
Emmanuel Durand est né en 1972. Dominicain qui a fait ses études de philosophie et théologie à Paris et Louvain. Puis, a enseigné la théologie à Paris, Ottawa, Rome avant de rejoindre Fribourg. Dernier livre ‘’Théologie de l’espérance’’, mai 2024, ed. Cerf.
Un signe d’espérance pour les femmes…
Sœur Simona Brambilla a été nommée préfète du dicastère pour les instituts de vie consacrée par le pape François. C’est la première fois dans l’histoire qu’une femme accède à une telle fonction à la Curie romaine. Elle sera assistée d’un cardinal, l’Espagnol Angel Fernandez Artime.
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ATTENTION: le dimanche 23 février, la messe (à Clairefontaine seulement) est à 10h30 et non à 11h comme mentionné sur la version papier du bulletin.
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« ‘’Réserve une demi-heure chaque jour à la prière, sauf lorsque tu as beaucoup à faire. Dans ce cas, prends une heure’’. Les psychologues ne manquent pas de relever le côté paradoxal de ce conseil donné par saint François de Sales. En tout cas il est pertinent. Il m’arrive régulièrement d’entendre des gens se plaindre qu’ils n’arrivent pas à prier parce qu’ils ont trop de travail. A mieux les écouter, je découvre bientôt qu’ils sont peu performants dans leur travail. Certes, ils travaillent avec obstination mais pour un piètre résultat. Selon François de Sales, c’est quand l’exigence de travail se fait plus grande qu’il faut prier davantage. Car celui qui travaille beaucoup doit aussi beaucoup prier afin que son travail soit productif. La prière éclaircit l’esprit et empêche que l’on se précipite aveuglément dans le travail. Elle nous met en contact avec notre centre afin que notre travail émane de ce noyau, du cœur de notre être. Dans la prière, nous découvrons la source intérieure de l’Esprit-Saint. Quand le travail provient de cette source, nous ne nous fatiguons pas facilement, puisque cette source, divine, est intarissable. »
Extrait de L’art de vivre en harmonie d’Anselm Grün
Néanmoins en décembre, notre modeste unité pastorale n’a pas chômé…
Le 12 décembre : une conférence de l’abbé Léon-Ferdinand Karuhijé qui n’a pas ménagé ses efforts pour nous offrir un bel exposé sur les animaux de la crèche qui ont une symbolique bien plus importante que ce que l’on imagine…merci à lui !
Le 15 décembre : à la chapelle des Prêtres du Sacré-Cœur de Clairefontaine, l’ordination diaconale de frère Antoine DO a été célébrée par le Cardinal Jean-Claude HOLLERICH, archevêque de Luxembourg, en présence de la Province d’Europe francophone et de son supérieur, le père Joseph Famerée, de la communauté de Clairefontaine et son supérieur, le père Jean-Jacques Flammang, de la famille du frère Antoine, du doyen d’Arlon-Messancy, Pascal ROGER et de nombreux paroissiens des villages voisins. La cérémonie était animée par la paroisse Aterdall Sainte-Claire.
Vidéo :
Le 22 décembre : à l’église de Weyler, messe de Noël animée par les enfants du catéchisme, bravo à eux et leurs catéchistes !
Retrouvez plus de photos sur notre Trait d’Union
24 puis 25 décembre : messe-veillée de Noël à Sterpenich, messe du jour de Noël à Barnich
Lien vidéo pour les messes de Noël :
« On n’annonce pas aux gens qu’ils sont appelés à être fils de Dieu, mais qu’ils sont déjà fils de Dieu. Et si nous le voulons librement, nous avons la possibilité de vivre en enfants de Dieu. Pour savoir comment faire, il nous a envoyé le Christ. »
Mgr Grégoire Cador, évêque de Coutances.
Tu es Dieu depuis toujours, musique et chant de Jonathan Paton, texte de Sylvain Freymond:
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Aide-moi à te chercher dans le fil de mon quotidien Seigneur, dans tout ce qui m’entoure, à travers la grâce des personnes, dans la beauté de la nature qui m’est donnée comme un cadeau à contempler.
Apprends-moi aussi à entrer dans Ton regard sur le monde, ce regard qui appréhende tout à l’aune de la dimension éternelle pour redonner toute « sa hauteur » et « sa largeur » à l’existence.
Apprends-moi à être pleinement présent à tout ce que je vis, sans crainte, mais avec une grande conscience, chaque jour, de l’appel qui est le tien. »
Alexia Tisserand, professeure de français, site Croire.com, 14-11-2024
En créant la fête de Noël, le christianisme, peut-être sans le vouloir, a opéré une véritable révolution théologique. Noël propose un moment de recueillement devant un nouveau-né. Ce petit enfant incarne non seulement la fragilité de toute existence qui vient au monde, mais il est pauvre, sans abri, exilé, menacé de mort par le roi Hérode. Sa vie dépend entièrement de sa mère qui le nourrit et de son mari, qui n’est même pas son père, qui le protège de ceux qui lui veulent du mal.
Or c’est dans cet être démuni, exposé à la haine, dépendant de la sollicitude de ceux qui le chérissent que le christianisme à Noël déclare reconnaître Dieu lui-même. Dieu donc n’est pas à chercher au ciel, dans l’univers, derrière le big bang ou plus loin encore. Ce sont les hommes qui portent Dieu. Enlevez les hommes, même si Dieu existe, c’est comme s’il n’existait plus, puisque personne ne songe plus à lui.
Dieu n’est rien d’autre que le minuscule espoir que nous ressentons tous devant un petit enfant, qu’il apportera un peu de bonté et de douceur à l’humanité. Espoir sans cesse déçu, espoir toujours renaissant. Si cet espoir a vraiment la consistance d’un être divin, c’est ce que personne ne sait au juste. Mais, ne serait-ce qu’une idée à nous les hommes, c’est une belle idée sans doute que nous puissions tous partager quelles que soient nos convictions.
Texte d’Armel Job sur Facebook, Noël 2019
L’Avent est une période spéciale, porteuse d’espérance malgré les guerres, les souffrances et les difficultés en tout genre.
Le chant de Jonathan Paton est lumineux ; de même les photos qui l’accompagnent ; il revient à toutes et tous de défendre la Création.
Transéamus usque Bethlehem ! Allons à Bethléem !
Lien vidéo pour ‘’Tu es Dieu depuis toujours’’ : montage photos sur une musique de Jonathan Paton, texte de Sylvain Freymond, qui ont accepté que leur chanson soit illustrée :
Pour aller plus à la découverte de Jonathan Paton:
https://www.jem-editions.ch/products/jonathan-paton-comment-decrire-2517.html
N’oubliez pas de parcourir le Trait d’Union : plusieurs activités de l’Avent y sont reprises : la conférence du 12 décembre à Weyler sur la symbolique des animaux de la crèche, l’ordination diaconale le 15 décembre de frère Antoine DO à la chapelle des Prêtres du Sacré-Cœur à Clairefontaine, la vente de gaufres pour la St Vincent de Paul le 22 décembre après la messe de Noël des enfants à Weyler.
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