Ce dimanche, les paroisses de Barnich/Sterpenich ont accueilli l’abbéAmari, nouveau curé et modérateur de notre Unité pastorale «Les Eaux-Vives du Pays d’Arlon».
Georges Médinger, président de la FE de Barnich et chef de chœur a souhaité la bienvenue au nouvel abbé et lui a remis, à titre symbolique, la clé de l’église.
Dans le même temps, les paroissiens qui ont pu prendre part à la célébration (distanciation obligée) ont eu la joie de vivre la profession de foi de onze jeunes de notre Unité, essentiellement des paroisses de Barnich/Sterpenich et Weyler/Autelhaut.
L’abbé Amari a insisté auprès de ces jeunes afin qu’ils poursuivent leur cheminement jusqu’à la confirmation et au-delà bien sûr. Dans son livre, Fierté de l’espérance, Éric de Clermont-Tonnerre, prieur du couvent des Dominicains de l’Annonciation à Paris, écrit : «L’avenir sera une surprise, et ce sera une bonne surprise car il est donné par Dieu » …
Ainsi, nous avons porté Loane, Ameline, Gabriel, Théo, Hugo, Anaïs, François, Lukas, Jeanne, Maëva et Maëlle dans nos chants et prières. Ce fut une messe empreinte d’émotion et revoir la jeunesse au sein de notre communauté est très revigorante.
Lien pour un court reportage (3’) photos/vidéos: cliquez ici
Dimanche 6 septembre s’est ouvert un temps fort de prière dans lequel nous invoquons la Vierge Marie, Reine de la paix.
En semaine méditation à 18h suivie par la messe à 18h30’ ; dimanche prochain de clôture, méditation à 17h et messe à 17h30 ‘.
L’abbé Paul Hansen a demandé de relayer au maximum ce temps de prière auprès de nos communautés car nous en avons bien besoin… ne fut-ce que pour nous aider à faire face à la pandémie toujours bien présente et à changer nos comportements comme le rappelle encore actuellement le pape François.
Ce dimanche, le chef de chœur, François et l’organiste Jean-Marie nous ont gratifié d’un superbe Ave Maris Stella, qui a ému beaucoup de fidèles…
L’homélie du diacre Emmanuel n’a pas laissé indifférent non plus : inspirée par le philosophe Sylvain Tesson, nous faisant passer de la mère de Rimbaud à la mère de Jésus, chacune avec leur fils atypique…, avait de quoi questionner…
Aussi si vous voulez ragaillardir votre foi, n’hésitez pas à passer un peu de temps à l’église de la Knippchen durant cette semaine.
Voici la prière de cette 366ième octave :
Sainte Vierge Marie, Reine de la paix,
Aidez-nous à accueillir le sermon sur la montagne, ces béatitudes dont on parle tant et qu’on applique si peu parce qu’elles vont à contre-courant, comme si la Semois qui prend sa source dans notre cité remontait vers ses origines au lieu de se balader en Lorraine et en Gaume, avant de rejoindre d’autres fleuves, pour se jeter dans la mer…
Aidez-nous à devenir le peuple de la Parole, le peuple de l’Eucharistie, le peuple du Message.
A quoi sert d’aller toujours plus vite, si on ne sait pas où l’on va ?
A quoi sert de produire toujours davantage, si on ne sait pas partager ?
A quoi sert aux pauvres de s’enrichir, et aux riches de s’appauvrir, si les uns et les autres ne savent pas vivre comme le Christ ?
Sainte Vierge Marie, A un monde dominé par l’argent, vous enseignez votre libéralité… A un monde de clinquant et de mensonges, Vous montrez votre transparence… A un monde qui ricane et sui salit, vous offrez votre pureté…
Apprenez-nous à ne pas être une page achevée d’être imprimée, mais une page chaque jour toute blanche, où l’Esprit de Dieu pourra dessiner les merveilles qu’il fait en nous.
A télécharger ici, le nouveau bulletin pastoral. Y est annexée la liste par paroisse des intentions célébrées en privé pendant la durée du confinement et qui seront reprises les prochains dimanches.
Les celébrations dans nos églises doivent reprendre à partir du jeudi 11 juin avec une messe à 18h à Weyler. Plus de détails dans le nouveau bulletin mensuel.
Il y a quelques semaines, la difficile décision était prise d’annuler la traditionnelle neuvaine de prière à l’Esprit Saint qui a lieu chaque année en la cathédrale entre l’Ascension et la Pentecôte. La pandémie de covid-19 nous empêche en effet de nous réunir physiquement. Avec notre évêque et les membres de son Conseil épiscopal, nous vous proposons néanmoins d’être en communion tous les soirs à 18h30 pour vivre une neuvaine à distance. Le thème retenu est « Viens, Esprit Saint ».
Du 22 au 29 mai
Chaque soir, du vendredi 22 au vendredi 29 mai, à 18h30, un membre du Conseil épiscopal vous proposera, sur la chaîne YouTube du Service de pastorale liturgique (cliquez ici), un texte biblique et une méditation.
Chaque soir, à 18h30 également, un temps de prière vous sera proposé sur les ondes de RCF Sud Belgique. Vous pourrez entendre le chant-thème choisi pour la neuvaine, la lecture biblique, la méditation d’un membre du Conseil épiscopal, la prière à l’Esprit Saint rédigée par l’abbé Haquin et la prière à la Vierge Marie récitée dans le diocèse depuis mars.
Pour l’occasion, un livret de neuvaine a été rédigé. Il est disponible en cliquant ici. Il contient l’entièreté des textes nécessaires pour vivre cette neuvaine. Des carnets imprimés ont d’ailleurs été mis à la disposition de personnes ne disposant pas d’un accès à l’internet.
30 mai
Le samedi 30 mai, à 18h30, Mgr Warin présidera en direct la messe de la veille de la Pentecôte depuis la cathédrale Saint-Aubain, dans sa forme déployée.
Vous pourrez suivre cette célébration en direct vidéo sur la chaîne YouTube du Service de pastorale liturgique (cliquez ici) et sur les pages Facebook de notre diocèse (www.facebook.com/catholique.namur) et du SPL (www.facebook.com/SPLNamur). RCF Sud Belgique diffusera l’office en différé à 20h30.
Si cette neuvaine s’inscrit dans la lignée des neuvaines vécues les autres années, elle répond aussi à un appel des évêques de Belgique lancé le 12 mai dernier « Prier avec Marie pour la venue du Saint-Esprit ». La prière à la Vierge Marie clôturera ainsi chaque soirée.
Monsieur l’abbé, Monsieur le diacre, Madame, Monsieur,
Depuis le 18 mars nous vivons tous des jours pour le moins particuliers.
Tout s’est arrêté. Déconcertant, perturbant… les mots manquent. Insécurisant surtout en voyant le nombre de victimes augmenter. En voyant que les personnes atteintes peuvent être un parent, un proche… La preuve si cela était encore nécessaire que le coronavirus ça n’arrive pas qu’aux autres.
Si un peu partout dans le pays, dans le monde, la solidarité a joué et continue à jouer, l’Eglise se veut elle aussi réactive. Au niveau du diocèse, de nombreux acteurs pastoraux continuent à faire preuve d’imagination pour rejoindre les communautés. Le diocèse vous propose de vivre grâce à la télévision, à la radio et à l’écran de votre ordinateur, les célébrations des prochains jours. Sans aucun doute, cette Semaine Sainte est particulière. Sans aucun doute Pâques n’aura pas la même saveur que les autres années mais cette pandémie ne va-t-elle pas nous aider à retrouver l’Essentiel?
Belles fêtes de Pâques à tous. Et surtout, restons prudents, respectons les mesures de confinement.
Le service Médias du diocèse
Une Semaine Sainte pour une communauté 2.0
Le coronavirus s’est imposé dans tous les domaines de notre vie y compris celui de notre vie de foi. A quelques jours de Pâques, à quelques heures des offices de la Semaine Sainte, le diocèse de Namur a voulu aller à votre rencontre. En s’invitant chez vous, dans votre salon, votre bureau… Ensemble, nous allons suivre la célébration du Jeudi Saint et l’office de la Passion, la Vigile pascale et les Vêpres de Pâques par écran interposé ou via la radio. Deux des enregistrements ont eu lieu ce mardi matin. Plusieurs possibilités sont offertes pour vivre ce temps pascal tout en formant une communauté 2.0. En savoir plus…
Vivez la Semaine Sainte avec Mgr Warin
Le diocèse de Namur, en association avec les télévisions communautaires, les réseaux sociaux et RCF Sud-Belgique, propose un éventail de possibilités pour vivre, avec Mgr Pierre Warin, évêque de Namur, les offices de la Semaine Sainte. En savoir plus…
Des outils pour vivre et célébrer la Semaine Sainte malgré le confinement
Les Services de pastorale liturgique et de catéchèse (Catéveil) mettent à disposition de celles et ceux qui le souhaitent des outils pour vivre et célébrer la Semaine Sainte dans le contexte particulier de cette année lié au Coronavirus. En savoir plus…
A l’attention des prêtres
Pour rappel, le lien suivant permettra aux prêtres de consulter une intention supplémentaire (IXb) pour la prière universelle du Vendredi saint et un formulaire de messe « en temps de pandémie ». En savoir plus…
Dimanche de Pâques à midi: faisons sonner les cloches de toutes les églises
Les Évêques de Belgique demandent de faire sonner les cloches de toutes les églises, le jour de Pâques à midi. Elles seront signe d’espoir et de réconfort. En savoir plus…
Voici les horaires de diffusion des celébrations à Namur par notre évêque Mgr Warin:
Vendredi Saint 10 avril Célébration de l’Office de la Passion, présidée par Mgr Warin depuis la cathédrale de Namur. Diffusion à 16h sur Canal C, Matélé, Canal Zoom et TV Lux. Diffusion internet à partir de 16h, sur www.facebook.com/catholique.namur ou www.facebook.com/SPLNamur ou via YouTube (cliquez ici). Diffusion à 18h30 par RCF Sud Belgique: à écouter, si vous habitez Namur, sur le 106.8. Dans la région de Bastogne, sur le 105.4 et sur le site www.rcf.be
Pour la Semaine Sainte, le père Ladis nous propose un texte de Chemin de Croix preparé par un collègue de Paris, le père Stanislas Wawro scj, sur la base de la pensée du fondateur de la congrégation des Pères du Sacré-Coeur, le p. Léon Dehon.
Nous venons d’apprendre que nous ne pourrons pas célébrer la semaine sainte en paroisse. Nous sommes désarçonnés devant cette situation de confinement. Rejoignons dans nos pensées et notre prière toutes ces personnes qui malades ou très âgées ne peuvent de toute façon pas rejoindre nos églises.
La semaine sainte est le sommet de toute l’année liturgique. On y passe par la désolation et la tristesse, et puis la plus grande joie : celle de la résurrection du Christ. Voici quelques propositions pour la vivre à la maison.
Nous pouvons bien sûr suivre la messe à la TV sur France 2 à 11h le dimanche (dimanche des rameaux à 10h30, la suite des horaires sera donnée à la fin de la messe) et des offices toute la semaine sur KTO. Avec les enfants voyez le site www.theobule.org.
– Pour le dimanche des Rameaux : il n’y aura pas de buis béni dans les églises mais pourquoi ne pas cueillir une branche de buis dans votre jardin ou d’un autre arbuste vert et prendre un petit temps de célébration. Vous disposez la branche sur une belle nappe blanche, dans le lieu le plus fréquenté par tous ainsi qu’une croix, une bible ouverte et une bougie. Tout le monde se réunit là, et on lit l’évangile Mt 21, 1-11, on dit une prière de bénédiction, on prend un temps de silence. Puis on partage la branche et tous ensemble, on va porter chaque brin dans chaque chambre. Là, on passe le brin de buis derrière la croix ou l’icône, et l’on fait cette petite prière : « Que ce rameau vert soit pour N (celui ou celle qui habite dans la chambre) le signe de ta présence vivifiante ». A la fin, on revient auprès de la nappe, avec la branche de buis principale. Là chacun peut faire un baiser à la croix du Christ. Et puis, on peut dire le Notre Père.
– Pour le jeudi saint : C’est le dernier repas de Jésus, là où Jésus a donné le pain et le vin comme son corps et son sang, et a lavé les pieds des disciples. Lors du repas du soir, on peut à table, garder une place vide : une chaise vide et devant, non pas des couverts, mais sur un petit set de table ou un napperon, une bougie qui symbolise la présence de Jésus. On peut commencer le repas par cette prière : « Jésus, toi qui nous as tant aimé, nous voulons te faire une place dans notre maison et dans notre cœur. Viens chez nous, aide-nous à t’ouvrir tout grand la porte, reste avec nous. Apporte-nous ta paix, ta douceur, et ta joie ».
A la fin du repas, on peut dire le Notre Père.
– Pour le vendredi saint : On peut se retrouver quelques minutes autour de la croix (là où il y a aussi le buis, la Bible et une bougie). Faire un petit chemin de croix à l’intérieur de la maison ou dans le jardin en se rappelant les différentes étapes que Jésus a vécues depuis sa condamnation par Pilate jusqu’à sa mise au tombeau et en priant pour tous les gens qui souffrent de par le monde. Pour terminer chacun peut faire un geste pour vénérer la croix (lui faire un baiser par exemple). Et puis, on peut dire le Notre Père, en se tenant la main.
– Pour le samedi Saint(ou un autre jour de la semaine) : On peut vivre un moment de pardon et de réconciliation en famille et avec le Seigneur. On peut relire la parabole de l’enfant prodigue (Lc 15), partager autour ce texte puis se demander pardon les uns aux autres, s’embrasser et dire le Notre Père en se donnant la main.
– Pour la nuit de Pâques : Lors de la veillée pascale, nous fêtons la résurrection du Christ. Quand la nuit est tombée, allumer des bougies (si on les retrouve, les cierges de baptême des enfants). Entourer la croix, la Bible disposées sur la nappe, avec la branche de buis. Vous éteignez toutes les autres lumières de la maison. Prendre un petit temps de silence. Vous priez : « Seigneur vient dans nos ténèbres, éclaire toutes nos nuits, viens nous redire que tu es ressuscité ». Et puis, très vite, vous allumez toutes les lumières de la maison si possible toutes ensemble. Et vous chantez votre joie. Par exemple « Alléluia alléluia Jésus est vivant, alléluia alléluia Jésus est vivant ! » (ou autre chose que vous connaissez).
– Pour le jour de Pâques : Remplacer la croix et le buis dans le coin prière par une icône du Christ ressuscité (on peut trouver des images sur internet) et un bouquet de fleurs jaunes. Avant de faire la chasse aux œufs, lire l’évangile du matin de Pâques Mt 28, 1-10. Se saluer en se disant : « Le Christ est ressuscité ! » « Oui, il est vraiment ressuscité ! ». Ecouter l’alleluia de Hayndel ou chanter ensemble un chant de joie…
Laisser jaillir votre créativité et celle de vos enfants ! Et si vous êtes seuls, imaginez aussi une manière à vous de célébrer en union avec tous les chrétiens du monde !
Bonne semaine sainte et joyeuse Pâques ! Que notre espérance reste vive malgré les mesures de confinement qui nous sont imposées.