« Voici les signes de la résurrection du Seigneur Jésus. Les premiers chrétiens ont découvert, au petit matin de Pâques, que le tombeau était vide. Or la polémique juive, entamée de bonne heure contre le message chrétien de la résurrection, ne mentionne jamais que le tombeau de Jésus serait demeuré tel quel. Elle avait pourtant tout intérêt à le faire. Si elle ne l’a pas fait, n’est-ce pas parce que la découverte du tombeau vide ne pouvait être mise en question ?
Le second signe de la résurrection du Seigneur, je le trouve dans l’attitude des disciples.
La Résurrection, une autosuggestion ? Une hallucination collective ? Une telle explication jure avec ce que nous savons de la psychologie des premiers disciples. Les pieds bien sur terre, ces pêcheurs du lac ne s’en laissaient pas facilement conter. Quand les femmes, revenues du tombeau, ont raconté aux Onze et aux autres de qu’elles avaient vu, ils ne les ont pas crues. Leurs propos leur ‘’semblèrent un délire ‘’ (cf. Lc 24,11). Et Thomas dut parcourir une étape supplémentaire avant de chanter son crédo : « si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je n’enfonce pas mon doigt à la place des clous et si je n’enfonce pas ma main dans son côté, je ne croirai pas ! » (cf.Jn20 ,25).
Et puis, il y a la formidable mutation qui s’est opérée dans la vie de ces hommes. Car enfin le fait est là : au lendemain du vendredi saint, ils se terraient désolés ; au lendemain de Pâques, ils sont partis sur les chemins du monde pour crier fort à qui voulait les entendre et à qui ne voulait pas les entendre : Jésus-Christ, l’homme qui était notre ami, l’ami des pauvres et des pêcheurs ; Jésus-Christ, sur qui on a craché, qu’on a matraqué et torturé en riant ; Jésus-Christ, qu’on a pendu sur une croix et dont on était sûr que la mort n’était pas ratée ; Jésus-Christ, qu’on a enterré avec une grande pierre et des soldats devant ; Jésus-Christ estressuscité ! Dans notre monde, nous nous heurtons de tous côtés à la mort et aux forces de la mort. Mais depuis le premier matin de Pâques, même le couchant d’une vie est la promesse d’un jour nouveau. Il est ressuscité et nous ressusciterons après lui. (…)
Extrait du mot de Monseigneur Warin dans la newsletter 03-2024 de RCF
Et le linceul de Turin ? Que de tribulations n’a-t-il pas connu et pourtant il est toujours là avec son questionnement…
Depuis Secondo Pia, un nombre considérable de photographies ont été prises. Issue d’un retraitement par ordinateur, celle de l’ingénieur français Thierry Castex est l’une des plus saisissantes.
«(…) Ce n’est pas simplement une pièce officielle, comme serait par exemple un procès-verbal, une grosse de jugement dûment signée et paraphée : c’est un décalque, c’est une image portant avec elle sa propre caution. Plus qu’une image, c’est une présence ! »
Paul Claudel dans sa lettre du 16 août 1935 à Gérard Cordonnier, membre de la Commission du Saint Suaire.
« Cependant, l’image ne nous montre pas un homme vivant, ressuscité, mais figé dans la rigidité cadavérique, avec les yeux fermés. Tout ce que l’on peut affirmer est que le Saint Suaire n’a recouvert le corps que quelques heures : on n’y observe en effet aucune marque de décomposition aux lèvres, au ventre ni sur les taches de sang, comme il arrive pour un cadavre au bout d’une trentaine d’heures.
De surcroît, personne ne peut scientifiquement expliquer comment le mort a pu en sortir sans laisser la moindre trace d’arrachement sur les caillots de sang ou les fibrilles de lin.
‘’Quand, sur une blessure, écrivent F. Giraud, T. Castex et Y.M. Giraud, on met un pansement sans corps gras, ou en quantité insuffisante, il colle à la blessure et, au moment de l’enlever, des morceaux de ‘croutes’ et de caillot, aux contours irréguliers et déchirés, restent toujours collés au pansement. Dans ce cas le Linceul joue le rôle de pansement ; le sang l’a donc traversé et, en trente-six heures, a eu tout le temps de sécher et coller le Linceul aux innombrables plaies. A l’examen du Linceul, aucune des centaines de taches n’a un pourtour irrégulier ni déchiré. Il faut se rendre à l’évidence : le corps s’est désolidarisé du Linceul sans laisser la moindre trace de séparation. Ce cas impossible n’est évidemment pas reproductible, mais par contre, il est extrêmement facile à vérifier, il suffit d’examiner le Linceul… c’est à la portée de tous’’. (…)Qui parmi les croyants ou même les incroyants n’a été fasciné par la contemplation de ce visage d’outre-tombe qui a traversé le temps ? Libéré de la souffrance, noble et serein, d’une grave et sublime majesté, il semble poser la même question que Jésus le Nazarénien posait déjà à ses disciples sur les routes de Galilée et de Judée : ‘’Et toi, qui dis-tu que je suis ?’’
Extrait de Le Saint Suaire de Turin, Témoin de la Passion de Jésus-Christ, par Jean-Christian Petitfils, 2022
Ce médecin légiste a réalisé l’autopsie du Christ à partir du Saint-Suaire (youtube.com):
A Noël, l’Eternel, l’indicible Très-Haut, nous tend les bras comme l’enfant dans la crèche.
« Tu aimeras l’Eternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. (Dt 5,7 Version Louis Segond 1910 )
« Allez donc : de toutes les nations faites des disciples » (Mt 28,19)
‘’Or que faisons-nous ? Nous nous taisons…il est tellement rare que nous parlions, même entre nous, de Dieu et de son Christ, sauf à certains moments de grâce. Et encore sans faire trop de bruit. Où est donc le besoin presque incoercible de parler qui s’empara des disciples le jour de la Pentecôte : ‘Alors, s’éleva la voix de Pierre…’(Ac 2,14) ? Et plus tard, quand le Sanhédrin interdit à Pierre et Jean d’annoncer encore Jésus, la réponse est nette : ‘Nous ne pouvons certes pas, quant à nous, taire ce que nous avons vu et entendu’ (Ac 4,20)
Basé sur le texte ‘‘une bonne nouvelle’‘ du cardinal G. Danneels
Merci donc aux enfants qui poursuivent leur chemin de foi et à leurs parents qui les aident sur cette voie car Christ est le chemin, la vérité et la vie (Jn 14,6)
Où règnent amour et tendresse, Dieu est présent:
De tous nos cœurs, l’amour du Christ fait un seul cœur. En lui, quelle joie fraternelle et quel bonheur ! Aimons et respectons le Dieu vivant de tout cœur ; Aimons-nous tous sincèrement.
Dès que nous sommes assemblés en un seul lieu, Gardons-nous bien de briser notre unité ! Ecartons désaccords et procès ! Vivons dans la paix ! Et qu’au milieu de nous soit le Christ-Dieu !
Puissions-nous un jour, ensemble avec les saints, Contempler la face de gloire du Christ-Dieu ! Joie immense, bonheur sans mélange Durant les siècles infinis ! Amen.
« (…) Il faut être une femme pour communier aux saisons, traverser l’hiver pour éclore de printemps, quitter les pleurs pour s’habiller de joie. Même quand le matin n’est encore que ténèbres et que l’aube n’a pas encore point. Le cœur d’une femme sait, bien avant l’heure, il voit ce que la nuit cache à la vue. Il y eut un premier jour dans la nouvelle semaine du monde d’alors. Il y eut une femme, il y eut Marie-Madeleine pour se rendre au tombeau, au chevet de notre humanité. C’était de grand matin... Les grands matins ne sont pas les matins grands : ils ne s’expriment qu’aux heures des encore ténèbres. C’est dire si c’était grand matin que ce matin-là. Le grand matin du monde, c’est l’amour qui s’écrit de lumière sur le livre de la nuit. Et il faut être une femme pour lire ces pages, les parcourir du toucher de son âme. Et déchiffrer à même la trame le Ciel qui s’écrie-là. Il y eut un soir, il y a un matin : c’est le matin de Pâques ! Et dans le cœur d’une femme, dans le nid le plus secret du monde donc, vient d’éclore un nouveau jour.
Il faut être une femme pour prévenir, quand l’inattendu survient. Peuvent alors venir les hommes pour voir et croire en la résurrection. »
« N’hésitez pas à visiter la chaîne YouTube belge « Foi et Raison » lancée par Thomas Remy, jeune chrétien engagé, professeur de français qui s’est converti au christianisme lors de ses études…
Abbé Amari, retourné dans son pays natal, la Côte d’Ivoire, durant le mois de janvier dernier, remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont soutenu son projet d’aide aux hôpitaux de Dabou, ville proche de la capitaleAbidjan. Il y a également fêté ses 25 ans de sacerdoce avec des confrères et le fera au sein de notre unité pastorale le 17 juin prochain (voir le bulletin paroissial).
Quelques personnes ont accompagné Abbé Amari, dont un médecin et Thérèse de notre équipe pastorale. Elles sont rentrées remplies de futurs projets dont un jumelage éventuel avec l’hôpital d’Arlon et le soutien à une association ivoirienne rencontrée sur place. Cette association portée par deux femmes, Karine et Fatima, vient en aide à des enfants très précarisés. Ce projet sera encore évoqué ultérieurement mais ces enfants ‘’ont besoin de tout’’. Aussi, ne jetons pas trop vite ce qui parfois nous encombre !
Belle fête de Pâques à tous !
Lien pour l’après-midi de la Miséricorde au sanctuaire de Beauraing le 16 avril prochain:
Merci à toute l’équipe qui a préparé et animé les célébrations de Barnich et Sterpenich et plus particulièrement à la Royale Philharmonie l’Union Sterpenich Barnichlors de la veillée.
En ce début janvier, la magie de Noël est encore présente en nos cœurs, et pourquoi pas la conserver tout au long de l’année ? Abbé Amari l’a répété : nous sommes tous des crèches…mettons en œuvre l’esprit d’humilité, de douceur, de paix…d’espérance mais pas n’importe quelle espérance.
« Toutefois espérer, ce n’est pas espérer que les choses aillent mieux…mais travailler pour que les choses aillent mieux. L’espérance est un engagement, je dirais même un combat.Dans les vents contraires il faut, comme le dit la Bible, se tenir debout, sandales aux pieds, bâton à la main, ceinture aux reins, au lieu de rester couché en attendant que la tempête soit passée. Il faut être là pour bâtir et réfléchir avec les autres.
Il s’agit donc, dans cette période difficile, d’être prêt au combat…
Mais se préparer au combat nécessite un certain cheminement. Si l’on en reste au niveau de ses émotions et de ses sentiments, l’espérance n’est pas possible. Au niveau des idées, de la pensée et des analyses, elle reste difficile. C’est au niveau du désir et de la volonté d’avancer que l’on entre dans l’espérance. Enfin, il faut accéder à la réalité de la présence de Dieu qui a promis son assistance à son Église et qui est avec nous tous les jours jusqu’à la fin des temps. Là est notre espérance. (…)
Dans les situations désastreuses ou pénibles que nous vivons se trouvent des germes d’espérance. Mais il faut aimer les surprises, il faut être capable d’en faire aussi, et de faire de bonnes surprises à Dieu en lui donnant notre adhésion, notre joie, notre confiance en lui.J’aime à penser que Dieu est le Dieu des surprises.La naissance de Jésus en Marie en est une ! Personne n’aurait pu l’imaginer. La résurrection est une surprise. »
Extrait de l’interview d’Éric de Clermont-Tonnerre, prieur du couvent des Dominicains de l’Annonciation à Paris, auteur de Fierté de l’espérance (Salvator), menée par Sophie de Villeneuve dans l’émission Mille questions à la foi sur Radio Notre-Dame. Site croire-lacroix.com (2020)
Nous espérons le meilleur pour Abbé Basile Amari qui fêtera les 25 ans de son ordination le WE du 15 janvier prochain, en Côte d’Ivoire, son pays natal ; nous prions pour lui, sa famille et les personnes qui l’accompagnent.
Notre montée vers Noël arrive à son terme ; pour revivre la belle célébration du dimanche 11 décembre à Barnich, vous trouverez ci-dessous le lien pour un montage vidéos/photos (Martine et Sylvianne) de ce beau moment de chants et prières grâce au Chœur de la Charité de Paris. Un tout grand merci à cet ensemble vocal.
« Un jour de plus commence, Jésus en moi veut le vivre. Il ne s’est pas enfermé, Il a marché parmi les hommes.Avec moi il est parmi les hommes d’aujourd’hui. Il va rencontrer chacun de ceux qui entreront dans la maison, chacun de ceux que je croiserai dans la rue, d’autres riches que ceux de son temps, d’autres pauvres, d’autres savants et d’autres ignorants, d’autres petits et d’autres vieillards, d’autres saints et d’autres pécheurs, d’autres valides et d’autres infirmes. Tous seront ceux qu’il est venu chercher. Chacun, celui qu’il est venu sauver. À ceux qui me parleront, il aura quelque chose à répondre ; à ceux qui manqueront, il aura quelque chose à donner. Chacun existera pour lui comme s’il était seul. Dans le bruit il aura son silence à vivre. Dans le tumulte, sa paix à mouvoir. Jésus en tout n’a pas cessé d’être le Fils. En moi il veut rester lié au Père. Doucement lié, dans chaque seconde, balancé sur chaque seconde comme un liège sur l’eau. Doux comme un agneau devant chaque volonté de son Père. Tout sera permis dans le jour qui va venir, tout sera permis et demandera que je dise “oui”. Le monde où il me laisse pour y être avec moi ne peut m’empêcher d’être avec Dieu ; comme un enfant porté sur les bras de sa mère n’est pas moins avec elle parce qu’elle marche dans la foule. Jésus, partout, n’a cessé d’être envoyé. Nous ne pouvons pas faire que nous ne soyons, à chaque instant, les envoyés de Dieu au monde. Jésus en nous ne cesse pas d’être envoyé, au long de ce jour qui commence, à toute l’humanité, de notre temps, de tous les temps, de ma ville et du monde entier. À travers les proches frères qu’il nous fera servir, aimer, sauver, des vagues de sa charité partiront jusqu’au bout du monde, iront jusqu’à la fin des temps. Béni soit ce nouveau jour, qui est Noël pour la terre, puisqu’en moi Jésus veut le vivre encore. Ainsi soit-il. »
Madeleine Delbrêl (1904-1964), assistante sociale, femme de prière et d’action, chrétienne engagée dans un dialogue avec les non-croyants et les milieux populaires. Toute sa vie, elle a donné l’exemple d’une vie fraternelle et d’une voie de « sainteté des gens ordinaires ».
N’oubliez pas que certaines célébrations de décembre vont être rehaussées par le Chœur de la Charité qui nous vient de Paris…
Heureuse et sainte fête de Noël : « Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, lui qui est Dieu, lui qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître. »St Jean
La chorale parisienne « Choeur de la Charité », composée d’Ivoirien(ne)s, sera parmi nous pour nous proposer quelques concerts et animations de messes:
Le samedi 10 décembre: 18h – Saint-Laurent de Weyler, animation de la messe 20h – Saint-Servais d’Udange, concert
Le dimanche 11 décembre: 11h – Saint-Willibrord de Barnich, animation de la messe 15h – Saint-Bernard d’Arlon, concert
Entrées gratuites, participation libre
Pour visionner des vidéos de la chorale, rendez-vous sur leur page Youtube.
« Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui apporte la joie au cœur des hommes, elle est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communiquer dans l’admiration. »
Ce texte de Paul VI date de 1965, mais est toujours d’actualité…
Beaucoup d’évènements ont marqué le mois de mai dont la canonisation de Charles de Foucauld, Marie Rivier et César de Bus, ainsi que de six autres religieux, le 15 mai 2022. Egalement la béatification de la Lyonnaise Pauline Jaricot où près de 12 000 fidèles laïcs et clercs de l’Église se sont rassemblés le 22 mai à Chassieu.
En partage deux extraits de l’homélie très forte du pape François, lors des canonisations :
« Aimer signifie ceci : servir et donner sa vie. Servir, c’est-à-dire ne pas faire passer ses propres intérêts en premier ; se désintoxiquer des poisons de la cupidité et de la concurrence ; combattre le cancer de l’indifférence et le ver de l’autoréférentialité ; partager les charismes et les dons que Dieu nous a donnés. Se demander concrètement : “Qu’est-ce que je fais pour les autres ?” et vivre le quotidien dans un esprit de service, avec amour et sans clameur, sans rien revendiquer, c’est sortir de l’égoïsme pour faire de l’existence un don, regarder les besoins de ceux qui marchent à nos côtés, se dépenser pour ceux qui en ont besoin, peut-être même un peu d’écoute, de temps, un coup de téléphone. La sainteté n’est pas faite de quelques gestes héroïques, mais de beaucoup d’amour quotidien.” »
(…)
« Parfois, en insistant trop sur les efforts pour accomplir de bonnes œuvres, nous avons généré un idéal de sainteté trop fondé sur nous-mêmes, sur l’héroïsme personnel, sur la capacité de renonciation, sur le sacrifice de soi pour gagner une récompense. Nous avons ainsi fait de la sainteté un objectif inaccessible, nous l’avons séparée de la vie quotidienne au lieu de la rechercher et de l’embrasser dans le quotidien, dans la poussière de la rue, dans les efforts de la vie concrète et, comme le disait sainte Thérèse d’Avila à ses sœurs, “parmi les casseroles de la cuisine”. Être disciples de Jésus et marcher sur le chemin de la sainteté, c’est avant tout se laisser transfigurer par la puissance de l’amour de Dieu. N’oublions pas la primauté de Dieu sur le moi, de l’Esprit sur la chair, la primauté de la grâce sur les œuvres. La primauté de l’esprit sur la chair, sur les hommes. L’amour que nous recevons du Seigneur est la force qui transforme notre vie : il dilate notre cœur et nous prédispose à aimer. »
Source : site internet Croire.com 05-2022
Dans notre unité pastorale, pas mal d’évènements se sont déroulés également :
Le 29 mai, à Weyler, la messe d’envoi de l’équipe pastorale renouvelée et la clôture du catéchisme célébrée par le vicaire épiscopal Joël Derochette accompagné par le doyen Pascal Roger et l’abbé Basile Amari.
Prière lue par l’assemblée afin de soutenir notre équipe pastorale :
« Aujourd’hui, par cette célébration, nous renouvelons ce qui se passait dans l’Eglise primitive. Animée par l’Esprit, elle envoyait avec joie quelques-uns de ses membres pour encourager leurs frères dans la foi et pour témoigner du Christ. Elle confiait des responsabilités à quelques-uns de ses membres pour que tous vivent davantage selon l’Evangile. Nous te prions, Seigneur, pour l’Equipe pastorale que tu envoies aujourd’hui. Donne aux membres de l’Equipe d’exercer ensemble leur responsabilité au service de la communion et de la mission de notre Unité pastorale. Qu’ensemble, au sein de notre diocèse, nous devenions tous des ferments de vie évangélique, sel de la terre et lumière du monde. Amen. »