Octobre 2023– « N’oublie pas mon enseignement ; que ton cœur observe mes préceptes : la longueur de tes jours, les années de ta vie, et ta paix en seront augmentées »

Livre des proverbes, chap.3

Les fruits de l’automne…

« Le temps s’est écoulé comme une rivière, je ne l’ai pas vu passer !
J’ai compté mes années et j’ai découvert que j’ai moins de temps à vivre ici que je n’en ai déjà vécu.

Je n’ai désormais pas le temps pour des réunions interminables, où on discute de statuts, de règles, de procédures et de règles internes, sachant qu’il ne se combinera rien…
Je n’ai pas le temps de supporter des gens absurdes qui, en dépit de leur âge, n’ont pas grandi.

Je n’ai pas le temps de négocier avec la médiocrité.
Je ne veux pas être dans des réunions où les gens et leur ego défilent.
Les gens ne discutent pas du contenu, à peine des titres.
Mon temps est trop faible pour discuter de titres.
Je veux vivre à côté de gens humains, très humains.
Qui savent sourire de leurs erreurs.
Qui ne se glorifient pas de victoires.
Qui défendent la dignité humaine et qui ne souhaitent qu’être du côté de la vérité et de l’honnêteté.

L’essentiel est ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue.
Je veux m’entourer de gens qui savent arriver au cœur des gens.
Les gens à qui les coups durs de la vie ont appris à grandir avec des caresses minces dans l’âme.

Oui… J’ai hâte… de vivre avec intensité, que seule la maturité peut me donner.
J’exige de ne pas gaspiller un bonbon de ce qu’il me reste…
Je suis sûr qu’ils seront plus délicieux que ceux que j’ai mangés jusqu’à présent – personne n’y échappe, riche, pauvre, intelligent, démuni … »

André Gide, Le Temps qui passe

Le temps passe, octobre arrive et en soutien à l’appel aux bonnes volontés relayé par le bulletin paroissial Trait d’Union, voici quelques photos consacrées au tri des nombreux dons pour lesquels vous êtes chaleureusement remerciés.

Ces dons seront prochainement empaquetés par une société parisienne avant d’être expédiés en Côte d’Ivoire via la France. Pourquoi la France ? Parce que les frais d’expédition y sont moins onéreux, la Côte d’Ivoire étant une ancienne colonie française.

Les dons triés par catégories : jouets, peluches, vêtements enfants…

Thérèse, Marie-Claire, Stéphanie, Arlette, Philippe, Josiane, Sylvianne…le tri s’effectue dans la bonne humeur !

Ci-dessous, une petite vidéo montrant les besoins énormes de la région du père Amari.

A Kpandah, son village natal, village de pêcheurs, les parents n’ont pas les moyens d’envoyer leurs enfants à l’école ; ceux-ci travaillent donc dès leur plus jeune âge.

Comme vous le constaterez, la nature est encore très belle dans le pays, toutefois elle se fait grignoter par l’activité humaine, par le règne de la débrouille et par le manque d’infrastructure et l’absence de directives environnementales.

https://www.kizoa.com/Video-Editor/d400292800k3290086o2l1/2023-01_Cote_dIvoire_

Petites infos du mois  : lors de la messe du 10 septembre dernier, abbé Amari a béni les nouvelles chasubles reçues pour la paroisse de Barnich ; tout le monde aime recevoir de ‘’nouvelles affaires’’ ! C’est la même chose, il semble, pour les enfants de Côte d’Ivoire !

Photo Arlette

Ce 4 octobre, jour de la fête de saint François d’Assise, clôture du temps de prière pour la création. Le prophète Amos s’écrie : “Mais que la droiture soit comme un courant d’eau, et la justice comme un torrent qui jamais ne tarit” (Amos 5:24), et nous sommes appelés à rejoindre le fleuve de la justice et de la paix, à prendre le chemin de la justice climatique et écologique, et à nous exprimer avec et pour les communautés les plus touchées par l’injustice climatique et la perte de biodiversité.

Voici le nouveau thème du #TempspourlaCréation 2023 (YouTube):

AVRIL 2023 – « N’ayez pas peur ! Ouvrez toutes grandes les portes au Christ »

Jean-Paul II

Image par Jazella de Pixabay

« (…) Il faut être une femme pour communier aux saisons, traverser l’hiver pour éclore de printemps, quitter les pleurs pour s’habiller de joie. Même quand le matin n’est encore que ténèbres et que l’aube n’a pas encore point. Le cœur d’une femme sait, bien avant l’heure, il voit ce que la nuit cache à la vue. Il y eut un premier jour dans la nouvelle semaine du monde d’alors. Il y eut une femme, il y eut Marie-Madeleine pour se rendre au tombeau, au chevet de notre humanité. C’était de grand matin... Les grands matins ne sont pas les matins grands : ils ne s’expriment qu’aux heures des encore ténèbres. C’est dire si c’était grand matin que ce matin-là. Le grand matin du monde, c’est l’amour qui s’écrit de lumière sur le livre de la nuit. Et il faut être une femme pour lire ces pages, les parcourir du toucher de son âme. Et déchiffrer à même la trame le Ciel qui s’écrie-là. Il y eut un soir, il y a un matin : c’est le matin de Pâques ! Et dans le cœur d’une femme, dans le nid le plus secret du monde donc, vient d’éclore un nouveau jour.

Il faut être une femme pour prévenir, quand l’inattendu survient. Peuvent alors venir les hommes pour voir et croire en la résurrection. »

www.thierry-lemoine.org   (extrait du texte du 17-04-2022)

« N’hésitez pas à visiter la chaîne YouTube belge « Foi et Raison » lancée par Thomas Remy, jeune chrétien engagé, professeur de français qui s’est converti au christianisme lors de ses études…

Abbé Amari, retourné dans son pays natal, la Côte d’Ivoire, durant le mois de janvier dernier, remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont soutenu son projet d’aide aux hôpitaux de Dabou, ville proche de la capitaleAbidjan. Il y a également fêté ses 25 ans de sacerdoce avec des confrères et le fera au sein de notre unité pastorale le 17 juin prochain (voir le bulletin paroissial).

Quelques personnes ont accompagné Abbé Amari, dont un médecin et Thérèse de notre équipe pastorale. Elles sont rentrées remplies de futurs projets dont un jumelage éventuel avec l’hôpital d’Arlon et le soutien à une association ivoirienne rencontrée sur place. Cette association portée par deux femmes, Karine et Fatima, vient en aide à des enfants très précarisés. Ce projet sera encore évoqué ultérieurement mais ces enfants ‘’ont besoin de tout’’. Aussi, ne jetons pas trop vite ce qui parfois nous encombre !

Belle fête de Pâques à tous !


Lien pour l’après-midi de la Miséricorde au sanctuaire de Beauraing le 16 avril prochain:

JANVIER 2023 – Que Dieu nous prenne en grâce et qu’il nous bénisse !*

(*Ps 66, 2a)

Pour retrouver quelques refrains qui nous ont emmené dans la magie de Noël…

https://www.kizoa.com/Video-Editor/d391472341k7036110o1l1/2022-12_Noel

Merci à toute l’équipe qui a préparé et animé les célébrations de Barnich et Sterpenich et plus particulièrement à la Royale Philharmonie l’Union Sterpenich Barnichlors de la veillée.

En ce début janvier, la magie de Noël est encore présente en nos cœurs, et pourquoi pas la conserver tout au long de l’année ? Abbé Amari l’a répété : nous sommes tous des crèches…mettons en œuvre l’esprit d’humilité, de douceur, de paix…d’espérance mais pas n’importe quelle espérance.

« Toutefois espérer, ce n’est pas espérer que les choses aillent mieux…mais travailler pour que les choses aillent mieux. L’espérance est un engagement, je dirais même un combat. Dans les vents contraires il faut, comme le dit la Bible, se tenir debout, sandales aux pieds, bâton à la main, ceinture aux reins, au lieu de rester couché en attendant que la tempête soit passée. Il faut être là pour bâtir et réfléchir avec les autres.

Il s’agit donc, dans cette période difficile, d’être prêt au combat…

Mais se préparer au combat nécessite un certain cheminement. Si l’on en reste au niveau de ses émotions et de ses sentiments, l’espérance n’est pas possible. Au niveau des idées, de la pensée et des analyses, elle reste difficile. C’est au niveau du désir et de la volonté d’avancer que l’on entre dans l’espérance. Enfin, il faut accéder à la réalité de la présence de Dieu qui a promis son assistance à son Église et qui est avec nous tous les jours jusqu’à la fin des temps. Là est notre espérance. (…)

Dans les situations désastreuses ou pénibles que nous vivons se trouvent des germes d’espérance. Mais il faut aimer les surprises, il faut être capable d’en faire aussi, et de faire de bonnes surprises à Dieu en lui donnant notre adhésion, notre joie, notre confiance en lui. J’aime à penser que Dieu est le Dieu des surprises. La naissance de Jésus en Marie en est une ! Personne n’aurait pu l’imaginer. La résurrection est une surprise. »

Extrait de l’interview d’Éric de Clermont-Tonnerre, prieur du couvent des Dominicains de l’Annonciation à Paris, auteur de Fierté de l’espérance (Salvator), menée par Sophie de Villeneuve dans l’émission Mille questions à la foi sur Radio Notre-Dame. Site croire-lacroix.com (2020)

Nous espérons le meilleur pour Abbé Basile Amari qui fêtera les 25 ans de son ordination le WE du 15 janvier prochain, en Côte d’Ivoire, son pays natal ; nous prions pour lui, sa famille et les personnes qui l’accompagnent.

JUIN 2022

« Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui apporte la joie au cœur des hommes, elle est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communiquer dans l’admiration. »

Ce texte de Paul VI date de 1965, mais est toujours d’actualité…

Beaucoup d’évènements ont marqué le mois de mai dont la canonisation de Charles de Foucauld, Marie Rivier et César de Bus, ainsi que de six autres religieux, le 15 mai 2022. Egalement la béatification de la Lyonnaise Pauline Jaricot où près de 12 000 fidèles laïcs et clercs de l’Église se sont rassemblés le 22 mai à Chassieu.

En partage deux extraits de l’homélie très forte du pape François, lors des canonisations :

« Aimer signifie ceci : servir et donner sa vie. Servir, c’est-à-dire ne pas faire passer ses propres intérêts en premier ; se désintoxiquer des poisons de la cupidité et de la concurrence ; combattre le cancer de l’indifférence et le ver de l’autoréférentialité ; partager les charismes et les dons que Dieu nous a donnés. Se demander concrètement : “Qu’est-ce que je fais pour les autres ?” et vivre le quotidien dans un esprit de service, avec amour et sans clameur, sans rien revendiquer, c’est sortir de l’égoïsme pour faire de l’existence un don, regarder les besoins de ceux qui marchent à nos côtés, se dépenser pour ceux qui en ont besoin, peut-être même un peu d’écoute, de temps, un coup de téléphone. La sainteté n’est pas faite de quelques gestes héroïques, mais de beaucoup d’amour quotidien.” »

(…)

« Parfois, en insistant trop sur les efforts pour accomplir de bonnes œuvres, nous avons généré un idéal de sainteté trop fondé sur nous-mêmes, sur l’héroïsme personnel, sur la capacité de renonciation, sur le sacrifice de soi pour gagner une récompense. Nous avons ainsi fait de la sainteté un objectif inaccessible, nous l’avons séparée de la vie quotidienne au lieu de la rechercher et de l’embrasser dans le quotidien, dans la poussière de la rue, dans les efforts de la vie concrète et, comme le disait sainte Thérèse d’Avila à ses sœurs, “parmi les casseroles de la cuisine”. Être disciples de Jésus et marcher sur le chemin de la sainteté, c’est avant tout se laisser transfigurer par la puissance de l’amour de Dieu. N’oublions pas la primauté de Dieu sur le moi, de l’Esprit sur la chair, la primauté de la grâce sur les œuvres. La primauté de l’esprit sur la chair, sur les hommes. L’amour que nous recevons du Seigneur est la force qui transforme notre vie : il dilate notre cœur et nous prédispose à aimer. »

Source : site internet Croire.com 05-2022

Dans notre unité pastorale, pas mal d’évènements se sont déroulés également :

  • Le 29 mai, à Weyler, la messe d’envoi de l’équipe pastorale renouvelée et la clôture du catéchisme célébrée par le vicaire épiscopal Joël Derochette accompagné par le doyen Pascal Roger et l’abbé Basile Amari.
La nouvelle équipe pastorale composée de l’abbé Basile Amari, Mme Thérèse Maquet et Mme Marie-Claire Defrenne

Prière lue par l’assemblée afin de soutenir notre équipe pastorale :

« Aujourd’hui, par cette célébration, nous renouvelons ce qui se passait dans l’Eglise primitive. Animée par l’Esprit, elle envoyait avec joie quelques-uns de ses membres pour encourager leurs frères dans la foi et pour témoigner du Christ. Elle confiait des responsabilités à quelques-uns de ses membres pour que tous vivent davantage selon l’Evangile. Nous te prions, Seigneur, pour l’Equipe pastorale que tu envoies aujourd’hui. Donne aux membres de l’Equipe d’exercer ensemble leur responsabilité au service de la communion et de la mission de notre Unité pastorale. Qu’ensemble, au sein de notre diocèse, nous devenions tous des ferments de vie évangélique, sel de la terre et lumière du monde. Amen. »

Lien pour une courte vidéo (+-2’) : https://www.kizoa.com/Video-Editor/d384863461k7361965o2l1/2022-05-29_Messe_denvoi_equipe_pastorale

  • Le 5 juin, les confirmations de 15 jeunes, célébrées par l’abbé Arnaud Ngouédi accompagné des abbés Basile Amari et Jean-Marie Piron.

Lien pour une courte vidéo (+-5’) : https://www.kizoa.com/Video-Editor/d385128085k6768499o1l1/2022-06-05_Pentecote_et_confirmations

Décembre 2021 – Avec Jésus, gardons l’espérance

Image Pixabay

Il est minuit
Et cela pourrait être
Le centre du poème,

Puisque nous sommes
En plein dans la nuit
Et dans son centre même.

Alors, nous qui cherchons
Toujours à saisir
Quelque chose de plus

Nous pourrions profiter
De ce minuit qui s’offre

Et ne demande
Qu’à s’incarner.

Guillevic ‘’Art poétique ‘’

Sous le sapin… (photo montage Sylvianne)

Qu’avons-nous pris pour célébrer dignement Noël ?

L’indispensable gadget apporté le soir par BPost qui s’engage à livrer dans les 24 heures ?

Le bonheur est-il d’avoir toujours plus ?

NOEL, injonction à la consommation, fête commerciale depuis longtemps, où l’enfant de la crèche n’a plus sa place.

Comment concilier cette injonction avec l’urgence de préserver l’environnement ?

Les chrétiens n’ont-ils pas la mission d’être en retard par rapport à cette société-là ?

Ne doivent-ils pas refuser d’entrer dans la logique consumériste qui dénature les fêtes ?

Les chrétiens prennent-ils l’essentiel de ce que Noël propose de vivre, s’ouvrent-ils vraiment au sens de cette fête ?  La nuit va-t-elle gagner ? La joie et l’espérance vont-elles disparaître ? Dans ce combat qui oppose la lumière aux ténèbres, Dieu pose un signe : un nourrisson dans une mangeoire. Un signe qui nous parle : « Souviens-toi, je suis toujours avec toi ».

« Les évangiles ne sont pas écrits pour nous rapporter des faits historiques, mais pour susciter en nous une adhésion : suis-je prêt à croire qu’en cet enfant, c’est Dieu lui-même qui vient parmi nous » ; mystère profond et insondable.

S’il est légitime de décorer nos rues et nos maisons, de faire quelques achats, ne serait-il pas bon de promouvoir la sobriété heureuse déjà préconisée depuis longtemps, entre autres, par Ivan Illich, Pierre Rabhi…et notre pape François : son écrit « Laudato Si » est devenu un livre de référence.

La liturgie de l’Avent peut nous aider à témoigner que l’homme n’est pas simplement un animal économique mais aussi un être spirituel.

Changer d’esprit, modifier nos habitudes, œuvrer pour plus de justice sociale et environnementale, voilà de nouvelles manières de vivre ensemble. Chrétiens pour un monde plus fraternel et solidaire avec comme moteur (énergie) l’espérance. Nous ne sommes pas seuls, Jésus nous accompagne.

Inspiré de l’édito de Patrick Grass dans le Carillon n°23 et de Pierre Rabhi dans ‘’Sobriété heureuse’’. Pierre Rabhi décédé ce 4 décembre 2021.

Photo Jean-Louis

A l’église de Weyler, samedi 20 novembre dernier, une messe d’hommage a été célébrée en mémoire du frère de l’abbé Amari, décédé dans des circonstances tragiques ; alors que notre abbé comptait prendre un peu de repos et retrouver sa famille en Côte d’Ivoire, son repos a été anéanti par ce drame.

La messe était présidée par le doyen Pascal Roger accompagné de nombreux prêtres. Cette belle célébration était rehaussée par les chorales réunies de notre unité pastorale ainsi que de quelques membres de la chorale africaine d’Arlon.

Photo Jean-Louis

Vivons pleinement l’Avent et Heureux Noël

Photo Stéphanie (église de Sterpenich)

Messes du week-end des 11 et 12 septembre

En raison de l’absence prolongée de l’abbe Amari, le doyen Pascal Roger a organisé les remplacements pour toutes les messes prévues dès le 4 septembre. Voici le programme pour le week-end prochain:

  • samedi 11 septembre 18 h 30 à Autelhaut : abbé Kieffer
  • dimanche 12 septembre 9 h 45 à Weyler : abbé Kieffer
  • dimanche 12 septembre 11 h à Barnich : Père Vincent
  • dimanche 12 septembre 11 h à Toernich : abbé Kieffer

Merci au doyen et à nos celébrants.

Annulation de la rencontre du 13 septembre

L’édition de septembre du « Trait d’union » annonçait une rencontre avec la responsable des unités pastorales de l’évêché de Namur, Mme Françoise Hamoir, pour faire la point sur la situation de notre unité pastorale. Prévue le 13 septembre, cette rencontre est reportée en raison de l’absence de notre curé, l’abbé Amari, qui est retenu en Côte-d’Ivoire suite au décès de son frère.

Veillée pascale – enregistrement vidéo

Célébration de la veillée pascale enregistrée samedi 3 avril à 19h30 à Weyler. Cliquez sur la photo pour accéder à l’enregistrement.

Photos: Jean-Louis Musty

La vidéo restera disponible en ligne pendant deux à trois semaines.

A l’occasion de la célébration, un rassemblement s’est tenu dans le cadre de l’action « Donnons tout son sens à la vie » organisée par le diocèse.

Pour plus d’informations, voir site du diocèse et site de la paroisse Saint-Martin d’Arlon.